Augmentation des tarifs après une date butoir
Posté: 05 Mars 2015, 21:55
Je compte sur la sagacité de l'un d'entre vous pour m'expliquer enfin clairement l'un des mystères qui entoure notre sport. Nous fûmes quelques-uns déjà il y a un certain temps à nous émouvoir de l'augmentation des tarifs alors même que d'une part, vu le contexte, les orienteurs ne sont pas spécialement plus riches et que par ailleurs il est de plus en plus difficile pour les clubs (qui paient souvent tout ou partie des inscriptions) de récupérer des subventions (toujours vu le contexte).
Mais là c'est encore autre chose, disons une variation sur le même thème. Et je sais que ce sujet a déjà été débattu mais je n'ai pas le souvenir d'un argument valable et facilement compréhensible même par moi.
Alors voilà le mystère : sur certaines courses à étapes les tarifs prennent au-delà d'une certaine date une plus-value telle que les dits tarifs finissent par doubler ou presque. Quand trois mois avant l'épreuve on passe brusquement à 35% en plus par exemple comment justifie-t-on ça ? Quel argument économique, d'organisation ou autre peut-on invoquer ? Et quand 2 mois avant l'épreuve c'est plus 75% par rapport au tarif de base, quel nouvel événement peut justifier ça ??? On peut en arriver alors à un coût de près de 25 euros par course ! Très loin de ce qui est préconisé par la fédé, sauf erreur de ma part.
Bref, comme je vois les choses pour l'instant : tous ceux qui ne peuvent à l'avance prévoir leurs congés ou leur organisation personnelle se font racketter (si ce n'est eux c'est leur club quand il veut bien payer la dérive exorbitante). Mais j'ai sûrement l'esprit mal tourné. C'est vrai, ils peuvent toujours rester chez eux...
Une autre idée ?
Mais là c'est encore autre chose, disons une variation sur le même thème. Et je sais que ce sujet a déjà été débattu mais je n'ai pas le souvenir d'un argument valable et facilement compréhensible même par moi.
Alors voilà le mystère : sur certaines courses à étapes les tarifs prennent au-delà d'une certaine date une plus-value telle que les dits tarifs finissent par doubler ou presque. Quand trois mois avant l'épreuve on passe brusquement à 35% en plus par exemple comment justifie-t-on ça ? Quel argument économique, d'organisation ou autre peut-on invoquer ? Et quand 2 mois avant l'épreuve c'est plus 75% par rapport au tarif de base, quel nouvel événement peut justifier ça ??? On peut en arriver alors à un coût de près de 25 euros par course ! Très loin de ce qui est préconisé par la fédé, sauf erreur de ma part.
Bref, comme je vois les choses pour l'instant : tous ceux qui ne peuvent à l'avance prévoir leurs congés ou leur organisation personnelle se font racketter (si ce n'est eux c'est leur club quand il veut bien payer la dérive exorbitante). Mais j'ai sûrement l'esprit mal tourné. C'est vrai, ils peuvent toujours rester chez eux...
Une autre idée ?