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Comme on le voit sur le sujet du Championnat AURA de Sprint ou dans le Grand-Est le SIAC y est présent mais il peine à se démocratiser alors qu'il est très développé dans beaucoup d'autres pays.
Est-ce aux clubs organisateurs de louer ce matériel ? est-ce à la Fédé' de le prêter et le gérer ?

Pensez-vous que ça apporte une meilleure "expérience utilisateur" ?

Moi je le verrais plutôt en mode équipement SI en 1999.... La fédé impose aux organisateurs des courses intéressantes d'y passer (au moins les sprints nationaux), et charge aux coureurs et/ou aux clubs d'y passer si ils le veulent.

> En 1999, perso c'est mon club qui avait acheté les puces et qui les prêtaient aux coureurs (bon c'est toujours le cas aujourd'hui pour les néophytes !)
> Faut pas se leurrer, les gens qui cherchent la perf, je pense qu'ils sont déjà à la SIAC. Je pense qu'il y a pas grand monde en EDF qui n'a pas sa SIAC. Pour le commun des mortels, les gars taquets y passeront... Ca coût quand même moins cher d'une paire d'irock et c'est sensé durer plus longtemps !

Ca me tue qu'on soit autant à la rue sur ce point là !

Clairement en sprint, ça aide à ne pas se soucier "de bien viser le trou" et de se consacrer vraiment à l'orientation en ne décrochant pas de la carte et sur la sortie de poste lors du pointage, surtout quand tu es au contact comme sur les relais.

Micka a écrit ... Faut pas se leurrer, les gens qui cherchent la perf, je pense qu'ils sont déjà à la SIAC....

à ce jour, dans l'archive FFCO, il y a 324 SI-AC sur 8147 affiliés (4%) (220 à fin 2017)
mais ils n'en profitent guère si l'organisateur ne programme pas les postes comme tels.

MickA a écrit: La fédé impose aux organisateurs des courses intéressantes d'y passer (au moins les sprints nationaux), et charge aux coureurs et/ou aux clubs d'y passer si ils le veulent.

+1

Actuellement c'est le contraire.
Ils interdisent les organisateurs d'y passer à moins que l’intégralité des participants aient une puce SI AC.
Ce qui revient à interdire dans la majorité des cas, à moins que les organisateurs fassent la démarche de gérer une location/prêt pour tous les participants (moyennant un surcout à l'inscription ou pour l'organisateur).
A mon avis, tant qu'on est dans cette démarche, le SIAC n'est pas prêt de se démocratiser.

Alors, effectivement ça pose des questions d'équité, mais pas forcément plus important que : les traces, conditions climatiques, la lampe sur une CO de nuit, ...
Et comme dit Micka, ceux qui jouent la performance s'équiperont assez rapidement...

Réellement à quoi cela sert il ?

C'est intéressant pour la société SI qui fait du business avec l'achat de nouvelles puces SI avec batterie à changer régulièrement (plus batteries boitiers à changer plus souvent) au lieu de garder 15-20ans celle que l'on a et qui a une durée de vie très longue.

Pour le coureur? ne pas s'arrêter au poste? franchement je ne vois pas ce que ça apporte , en dehors des relais sprint internationaux où le poinçonnage peut être tendu... Et pour éviter certaines cabrioles en O'VTT et O'ski mais la technique de poinçonnage pour moi fait parti du jeu...

De mon point de vu ce système n'apporte rien.

Oui alors certes tu changes plus souvent tes stations mais ça garde une bonne autonomie
Les clubs n'ont pas besoin de racheter des nouvelles stations puisque ça fonctionne sur les BSF7/8
Et le temps de poinçonnage reste le même (outre l'action de mettre la puce dans l'orifice)
Et la France applique la règle du 100% des coureurs doivent être munis de SIAC contrairement au choix de l'IOF.

orienteur51 a écrit:Oui alors certes tu changes plus souvent tes stations mais ça garde une bonne autonomie
Les clubs n'ont pas besoin de racheter des nouvelles stations puisque ça fonctionne sur les BSF7/8
Et le temps de poinçonnage reste le même (outre l'action de mettre la puce dans l'orifice)
Et la France applique la règle du 100% des coureurs doivent être munis de SIAC contrairement au choix de l'IOF.

100% et/ou plutot 0%...